jueves, 19 de abril de 2012
Golpistas.
martes, 29 de noviembre de 2011
Poeta de mierda de manos vacías. Es lo que hay.
lunes, 28 de noviembre de 2011
DELIRIOS.
Plan, proyecto, doctrina o sistema optimista que aparece como irrealizable en el momento de su formulación. Así define la Real academia española la Utopía. Sin embargo, mi visión sobre la misma es mucho más subjetiva. Ciertamente, suscribo las palabras de Eduardo Galeano, en las que sitúa la utopía en el horizonte:'' La utopía está en el horizonte. Camino dos pasos, ella se aleja dos pasos y el horizonte se corre diez pasos más allá. ¿Entonces para que sirve la utopía? Para eso, sirve para caminar.'' Pienso que, la utopía debería acompañar siempre al político, al ciudadano, al obrero y al empresario, de modo que aunque nunca se alcance por completo, se consiga al menos una mínima parte y deje de tildarse de desvarío. Es necesario que esté presente en todas y cada una de las realidades. Nunca me detuve a reflexionar si mi posición es la equivocada, me niego a aceptar que todo lo injusto, lacerante e inaceptable del mundo sea inamovible o necesario. No sé en que momento crucé la línea para superar la indiferencia propia de la infancia, cual fue el instante en el que sentí aflicción por los desheredados, los oprimidos, los que parecen no existir, los que sienten el impacto del plomo sobre su pecho, en definitiva: los olvidados; Es la predilección por ellos, la que obstaculiza mi camino hacia el hedonismo, pintándolo con una culpabilidad inmerecida. No queda más que reflexionar y caminar hacía la lejanía, no existe otra salida.¿Que tal si deliramos?.
lunes, 16 de mayo de 2011
''La haine''
''El odio'' es más que una película,es el retrato de una sociedad decadente que paulatina e inconscientemente se hunde en el fango.
jueves, 31 de marzo de 2011
En la fiesta nacional, yo me quedo en la cama igual, que la música militar nunca me supo levantar...''
Au village, sans prétention, J'ai mauvaise réputation. Qu'je m'démène ou qu'je reste coi Je pass' pour un je-ne-sais-quoi! Je ne fait pourtant de tort à personne En suivant mon chemin de petit bonhomme. Mais les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Non les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Tout le monde médit de moi, Sauf les muets, ça va de soi. Le jour du Quatorze Juillet Je reste dans mon lit douillet. La musique qui marche au pas, Cela ne me regarde pas. Je ne fais pourtant de tort à personne, En n'écoutant pas le clairon qui sonne. Mais les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Non les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Tout le monde me montre du doigt Sauf les manchots, ça va de soi. Quand j'croise un voleur malchanceux, Poursuivi par un cul-terreux; J'lance la patte et pourquoi le taire, Le cul-terreux s'retrouve par terre Je ne fait pourtant de tort à personne, En laissant courir les voleurs de pommes. Mais les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Non les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Tout le monde se rue sur moi, Sauf les culs-de-jatte, ça va de soi. Pas besoin d'être Jérémie, Pour d'viner l'sort qui m'est promis, S'ils trouv'nt une corde à leur goût, Ils me la passeront au cou, Je ne fait pourtant de tort à personne, En suivant les chemins qui n'mènent pas à Rome, Mais les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Non les brav's gens n'aiment pas que L'on suive une autre route qu'eux, Tout l'mond' viendra me voir pendu, Sauf les aveugles, bien entendu